Le 16 janvier dernier, je vous faisais part du destin d'un petit village palestinien, dont les terres agricoles sont menacées par le tristement fameux mur de séparation.
J'évoquais l'admirable combat de ses habitants pour le maintien d'une agriculture traditionnelle et pour le développement d'un éco-musée.
Je mentionnais également l'aide apportée par la cartographe Jasmine Salachas et un groupe d'étudiants lillois. Je reçois à l'instant de leur part une série de cartes exceptionnelles, qui mettent en évidence le grignotage subi par Battir avec une force qu'aucun texte ne saurait atteindre...
J'aime les cartes. Elle sont souvent belles. Celles-ci sont en plus utiles.